Description
Bulletin de santé, 160 pages d’un plaidoyer vigoureux pour l’oralité dans la poésie…
Ce qu’ils en disent :
« […] plein d’élan, de générosité et d’enthousiasme […] Une saine impertinence aussi, d’autant plus que ses remarques critiques sont toujours argumentées. Comme en outre tout cela est écrit dans une langue racée et vivante, comme il s’appuie sur une connaissance profonde et ouverte du répertoire poétique, cet essai est très efficace. Et quel bonheur de lire le journal des Bip! Enfin tout cela vaut aussi par l’humanité de son engagement. »
Jean-Pierre Siméon, directeur du Printemps des Poètes
« […] au delà de l’expérience touchante et belle de la transmission physique, de bouche à oreille avec les fameuses Brigades d’Interventions Poétiques, l’auteur nous dresse un hilarant portrait au vitriol des poètes qui « pètent plus haut que leurs vers » et on réalise alors que la poésie, est en fait tout autre chose que ce que l’on nous « vend » comme tel, à travers moult plaquettes auto éditées et autres déclamations saint- sulpiciennes ou printanières ! »
@ Eugénie Barbezat, Libre-expression lire la suite
« […] la question de l’oral, si elle en constitue le cœur, n’occupe pas toutes les pages de ce livre plein de santé : Michel Arbatz observe, lit et ausculte toutes les manifestations de la poésie en France aujourd’hui. Attention donc aux ombrageux, aux sourcilleux, aux « bars-tabacs », ce n’est pas tendre, sources à l’appui… »
@ Eric Pistouley, Recours au poème
« Les parties les plus passionnantes du livre concernent le récit des expériences personnelles de l’auteur, et notamment dans les écoles ou au sein des Brigades d’Intervention Poétique. Expérience de poésie dite, sans préavis et en équipe, dans des lieux publics, à des personnes qui n’en entendent ni n’en lisent, pour la plupart, jamais. Et les gens en redemandent […] »
@ Alain Plagne, Parutions.com
Avis de fort coup de vent sur l’archipel des jargonautes : artisan du beau texte, Michel Arbatz nous donne à lire un manifeste enjoué et acéré […] Dans la rue, dans les trams, dans les commerces, au moment crucial vénéré des emplettes, dans un commissariat, sous les quolibets, la complicité et les sourires aussi, les « brigadistes », l’espace d’un instant, enchantent le jour. Et si la vie est quotidienne, pourquoi la poésie ne le serait-elle pas?
@ Christian Boisson, lesamisdugraindesmots.com